J'appelle cela le "leurre du deux" !
Nous sommes bâtis sur ce deux : nos yeux, nos oreilles, nos bras, nos jambes.
Cela a, comme principal effet, conditionné
même nos pensées
souvent binaires :
bien ou mal,
chaud ou froid,
exact ou faux...
Pourtant !
Nous n'avons pas DEUX options,
nous en avons bien plus.
Prenons l'exemple de la fleur du 12 octobre, imaginons une relation un peu tendue.
Option 1 : je réagis vivement et j'envoie sur les roses (pour rester dans un registre fleuri)
la personne qui m'a offensée.
Option 2 : je cueille ce qu'elle me dit comme ce qu'elle pense et j'analyse calmement.
Je ne l'envoie pas sur les roses.
J'en prends de la graine pour analyser ce qui pousse en moi.
Option 3 : j'engage la discussion en reprenant les mots de l'autre et lui demandant d'être la plus précise possible car cela m'intéresse.
Nous ne sommes à fleur de peau ni l'une ni l'autre.
Nous composons notre bouquet !
Option 4 : une tierce personne arrive comme une fleur, se mêle à notre conversation
et nous lui tombons toutes les deux dessus.
Oui, je sais, c'est un peu au ras des pâquerettes,
c'est juste pour ouvrir le champ des Possibles et sortir de la dualité !
Faîtes-moi une fleur, trouvez d'autres options !
Frâme d'enfant
Je fais comme si j'étais dur de la feuille
RépondreSupprimerExcellent ! merci ! 😂
SupprimerJe dis avec des fleurs : la langue des amoureux.
Supprimer