Bonsoir chers Lecteurs et Lectrices d'Âme d'enfant !
De petites inspirations viennent se bousculer en ouvrant ma messagerie. Elles m'incitent à partager quelques nouvelles avec vous dont la présence me ravit.
Je vous mets donc au parfum.
Depuis le chemin de Compostelle, Pauline Wald continue d'aller vers son essentiel et nous envoie des nouvelles intéressantes que je partage avec vous.
Vous verrez dans cette prise de conscience le lien avec notre conversation suivante. Et si on levait les yeux ?
"J'ai adoré ce mois et en même temps, je dois rester attentive à ne pas trop m'épuiser. Alors qu'il y a 10 ans, j'étais capable de bosser d'arrache-pied sans pause du matin au soir, aujourd'hui, mon corps me montre que j'ai des limites et que je dois prendre davantage soin de mon énergie.
Alors, j'observe attentivement les messages de mon corps (pour ne plus me rediriger vers le burn-out) mais aussi ceux de mon esprit (j'essaie de tenir à distance la voix en moi qui me raconte que je n'en fais jamais assez).
Aussi, j'ai été beaucoup plus présente sur les réseaux sociaux ce dernier mois et j'ai remarqué une chose : plus je scrolle sur les réseaux, moins je me sens créative et concentrée sur une tâche. C’est dans les moments sans accès à mon téléphone que je suis la plus disponible pour laisser l’inspiration me visiter. J’ai besoin de temps de rien pour l’accueillir et mettre mes idées sur papier, pour de futurs projets.
Je remarque que c'est plus facile pour moi de retarder l'heure à laquelle j'allume mon téléphone / les réseaux le matin plutôt que de faire de longues pauses dans la journée.
Depuis une semaine, j'arrive à n'allumer mon téléphone qu'après avoir pris mon petit déjeuner et avancé sur mes projets au moins 1 h 30. Et je vois le bel impact que ça a ! Je me sens plus satisfaite de moi. Je me réserve cette 1 h 30 pour avancer sur les projets qui nécessitent le plus de ma concentration (ce n'est pas le moment pour répondre à des e-mails).
Et j'essaie de ne plus aller sur les réseaux sociaux après 21 h 30.
Ça vous inspire à faire pareil ?"
Nous avons également réfléchi à la notion de point de vue, de vérité.
Le défi de la société, actuellement, consiste à considérer notre point de vue comme UN point de vue.
Il n'est pas universel, même si nous en sommes persuadés !
Cette photo d'Élise met de l'eau à mon moulin. il est possible que, comme cette araignée, nous tissions des toiles qui, telle la cataracte, nous empêchent de voir clairement ce qui est face à nous.
Nous sommes doués pour opposer, beaucoup moins pour composer, comp'oser !
Frâme d'enfant
Si j'écoute les Professionnels
RépondreSupprimerdes informations je suis découragée. Je ne veux pas ignorer non plus comment je peux montrer que j'aime la paix ? On fête un armistice en appelant à la guerre j'ai du mal à comprendre.
RépondreSupprimerMon point de vue c'est la paix on peut en avoir un autre ?
Bonjour et merci pour cette question dont la réponse, visiblement, ne vous plaira pas : oui, certaines personnes préfèrent la guerre à la paix. Oui, c'est choquant de mêler deux points de vue si opposés, du moins apparemment. Nous allons développer notre réponse car votre question mérite toute notre attention. Merci pour votre contribution !
SupprimerEst-ce le sujet de la discorde pour parvenir à la Concorde
RépondreSupprimerAvec le choix de ces mots, vous me ramenez à la musique. Je crois d'ailleurs avoir écrit une conversation sur ces termes "musicaux". Je vais rechercher.
SupprimerPetite cacophonie au moment où chaque instrument s'accorde avant de proposer la symphonie qui se compose de chaque sonorité particulière.
N'est-ce pas à cela que nous sommes appelés ? Je le crois. 💞