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dimanche 26 janvier 2025

Gratitude et foi, Pauline Wald

 

Bonjour à toutes et à tous,


L’été dernier, j’ai fait une rechute d’une maladie, la rectocolite hémorragique. 

Ironie du sort, j’ai rechuté juste après avoir annoncé fièrement ma rémission dans une vidéo.
Deux déménagements, un choc émotionnel, et de mauvaises habitudes alimentaires (reprise quotidienne du chocolat et du fromage) ont contribué à cet effondrement.
Je me croyais invincible, j’ai été rattrapée par des diarrhées sanglantes et violentes, qui m’affaiblissaient, chaque jour. 

Alors, je me suis remise à manger des plats qui me convenaient en suivant la nutrithérapie Ptilara (qui m'avait permis de sortir la tête de l'eau un an et demi auparavant). J’ai enlevé le cru, le thé, le café, etc.
Sauf que cette fois, ça n’a pas marché de la même façon.

Je me sentie très vulnérable. Cette maladie m’empêchait de sortir de chez moi paisiblement, de prendre les transports en commun, de manger un plat à l’extérieur, et me prenait énormément d’énergie. Je perdais du poids, moi qui avais plutôt envie d’en prendre. 

 

Depuis mon plus jeune âge, j’ai trouvé du réconfort dans le fait de prier et dans l’idée que quelqu’un / quelque chose veillait sur moi. Surtout dans les moments les plus difficiles. Je suis croyante en quelque chose de plus vaste, une cohérence globale, la magie de la vie. Pour autant, je ne me sens pas appartenir à une religion.
Alors, dans ce moment de grande vulnérabilité, je me suis mise à demander de l’aide. Il fallait que j’aille mieux le plus vite possible. Mais mon état s’aggravait, malgré mes efforts alimentaires et mes prières

Je me suis sentie en colère, contre cette maladie, et contre toute forme de spiritualité. 

 

Puis, j’ai réalisé que j’avais tellement peur de rester dans cet état que je créais de la tension supplémentaire dans mon corps et mon esprit. Je résistais, je luttais, je râlais.


Alors, j'ai commencé à tourner mon attention vers ce qui fonctionnait dans mon corps et dans ma vie. J’ai mes deux bras, mes deux jambes, des yeux, etc. 

J’ai mis en place un rituel de gratitude quotidien où je remerciais la vie pour la santé que j’ai par ailleurs. Chaque soir, je listais au moins trois choses pour lesquelles j'avais de la gratitude en ressentant la joie dans mon cœur.

En parallèle, j’ai continué à prendre soin de mon côlon avec des comportements et une alimentation adaptée (merci à la méthode ptilara pour cela !).
Peu à peu, mes symptômes ont commencé à disparaître. 

Qu'importe ce qu'il se passe dans ma vie, je peux choisir de mettre mon attention sur ce qui va. Et quand je remercie pour ce que j'ai déjà, c’est souvent là que je reçois ce que je désire. 

 

Je ne dis pas qu'il suffit de ressentir de la gratitude pour guérir, loin de là. Mais je suis persuadée que cette énergie de la gratitude soutient notre corps physique et mental. 

 

Vous qui me lisez, je vous propose de prendre quelques minutes dès maintenant pour lister 3 choses pour lesquels vous ressentez de la gratitude :-)

 



2 commentaires:

  1. La gratitude c'est très important. Être blasé apporte peu de joie. Merci pour ce message. 🙏

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    1. Je vous rejoins tout à fait sur le fait qu'être blasé peut même être dangereux pour soi. 😏

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