Bonsoir jeunes Âmes d'enfants !
Je termine de lire le dix-septième conte et je souris, frappée par le lien évident entre Jean Valjean et ce
loup "voleur".
Nourrir sa famille, la même intention louable. Voler, un acte répréhensible, qu'on soit petit ou grand.
Cette dame cuisinait pour nourrir "les ventres creux". Le loup n'a pas su reconnaître cette générosité,
il a volé le Beackeoffe traditionnel, ce délicieux et nourrissant mélange de viande et de pommes de
terre. Comme Jean qui a eu du mal à voir que l'évêque était généreux, le Loup n'a pas réfléchi.
Vous pouvez lire ou écouter ce conte, ici.
Nous venons de discuter, avec Peter Pan, des différences subtiles entre générosité et gentillesse.
Peut-on être gentil sans être généreux ?
Peut-on être généreux sans être gentil ?
Je rattache la générosité à l'aide, ce qui me permet de vous rappeler un ancien article, ici.
La langue française est vraiment très riche, des mots nombreux offrent sens et nuances à bien
connaître. Nous appelons cela le vocabulaire.
Je vous fournis le lien vers les animaux malades de la peste, nous pouvons réfléchir à cette fable si
actuelle.
Belle soirée à chaque Un de nous !
Frâme d'enfant et Peter Pan
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