Une petite évasion en ce mercredi 27 décembre :
Bonjour les Âm'is !
Quel merveilleux mercredi nous avons passé ensemble ! J'ai envie de partager mes émotions avec vous.
Cinq Colo'Rieuses pour égayer l'après-midi et encore plus de sourires !
Merci aux deux mamans attentives, à ces familles qui me rassurent sur l'état de la planète.
Grande sœur ou petit frère, chacun a apporté sa touche de couleur, surtout la plus jeune qui m'a transformée en Conteuse !
Faire co-naissance, s'amuser de la façon dont les liens se sont tissés entre nous. Chaque rencontre a son histoire.
Choisir sa signature, son pseudo et son mandal'âme sur le catalogue spécial, trouver sa place et mettre des couleurs. Crayons et feutres circulent entre toutes les mains. Il ne reste plus qu'à trouver le mot magique qui habille l'œuvre...
Nous pouvons alors admirer la magie du coloriage.
Il me faudra un peu de temps pour mettre en ligne, soyez patients !
Je rêve à la prochaine rencontre. Il me faut vous présenter mon co'Paint ! 😂🤣
Frâme d'enfant
Bonnes vacances, les Enfants !
Profitez bien de ce moment de repos.
Voici une petite idée pour occuper une journée froide ou pluvieuse :
Pour les Colo'Rieurs et bien-sûr les Colo'Rieuses,
sortez vos crayons et vos feutres !
Pour ceux qui aiment créer, alors sautez sur vos papiers
ou sur votre ordinateur et..
inventez vos propres chiffres pour l'année à venir !
Et puis si vous êtes généreux, partagez avec moi, je pourrai publier vos oeuvres !
Frâme d'enfant
Bonjour, chères Âmes d'enfants !
J'essaie de ne pas me laisser emporter par tous les partages que vous m'offrez et au contraire d'enrichir mon regard, de l'élargir grâce à vous. Merci !
Élise nous a proposé de réfléchir à ce qu'est la lucidité, à ce qui peut la distinguer de l'objectivité. Pour cela, elle nous propose un outil indispensable : l'observation.
Voir clair en soi, analyser son fonctionnement dans l'intention évidente de bien-être. J'avais presque envie d'écrire de bien naître ou re naître si vous préférez.
La lumière de Noël, toute en douceur, nous invite à ouvrir nos cœurs et à donner du sens à tout ce qui nous arrive.
Nous poursuivons notre quête, tels les héros des contes de notre enfance. Frédéric Midal recevait Bernadette Bricout, une spécialiste des contes qui sont tous issus d'une transmission orale.
Je vous invite à les écouter ici.
Que racontent nos contes ? Quel sens notre Enfant intérieur ou inter rieur est-il appelé à découvrir ? Quels éclairs de lucidité, de conscience nous conduisent vers l'objectivité ?
Nos rencontres agréables ou désagréables ont toutes leurs places dans nos missions de vie. Nous avons nos sorcières, nos ogres, nos loups, nos corbeaux et nous avons nos princes charmants, nos princesses de caractère.
Observons, restons lucides et conscients !
Toutes nos impasses, nos égarements, nos désespoirs
nous conduisent là où se trouve notre mission de vie.
Petit clin d'œil à Chris, Reine en ce domaine, et espoir pour tous ceux qui ne voient pas le bout de leur tunnel !
Merci à chaque Un de nous sur la Terre des Hommes.
Soyons ce que nous sommes et soyons-le bien, ensemble !
Les mots de la fin (parce que je m'applique à rester brève) seront donc :
convergence et courage.
Frâme d'enfant
Bonsoir chers Âmis, un tout petit article pour vous remercier pour vos envois que je partagerai dans les prochains jours.
Ce qui m'apparaît vraiment merveilleux, c'est de constater combien nos convergences sont nombreuses.
Vos contributions m'encouragent à continuer ce chemin de vie, avec ses hauts, ses bas et ses impasses.
Juste une petite fleur ce soir pour illustrer mes propos... et la suite, dans les prochains jours !
Douce soirée !
Frâme d'enfant
Merci de nous encourager à déborder,
nous laissons jaillir notre inspiration du moment
en pleine lumière :
Et si nous dessinions la lucidité ?
Avec une tablette, notre tête et notre coeur :
Noon et Frâme d'enfant
Nous ne nous quittons plus !
Tu viens croiser mon chemin de temps en temps et je te découvre à chaque fois plus attirant.
Il semblerait que le charme fasse entièrement partie de ta personne.
Sous tes dehors d'enfant très éveillé, se trouve aussi le séduisant jeune homme aux positions affirmées.
Tu n'as pas vieilli ! Tu as juste disparu des radars et laissé germer les graines que tu avais semées.
Tu restes "tendance".
Tu serais sans doute surpris de connaître le nombre de tes Suiveurs, comme on dit maintenant.
Nous marchons dans tes pas, dans nos déserts.
Nous rencontrons des planètes pas nettes comme les tiennes.
Nous aurions parfois bien envie de t'imiter et de profiter d'un vol libérateur pour visiter d'autres Cieux.
Tu colles à notre esprit à la façon qu'apprécient les enfants : répéter jusqu'au point de rupture de la Grande Personne.
Cette émission partagée avec mon PP préféré, mon pilote de talent nous a réjouis donc nous la partageons sur la Terre des Hommes. Ici !
Tu sais, elle ne va pas très bien notre Terre.
Elle est malade de toutes les salades qu'on nous fait avaler. Les baobabs ont été mal arrachés.
Tu nous avais prévenus !!!
Alors si tu as de quoi nous aider, là où tu es, n'hésite pas : je veux bien partager tout ce que tu nous enverras.
N'hésite pas à motiver d'autres copains et copines que tu t'es faits.
Merci Antoine !
Frâme d'enfant
Petit clin d'oeil :
après la bonne heure,
le bon jour !
Nous harmonisons notre temps.
Coucou les colo'rieurs et colo' rieuses,
Pour le dernier mandalâme de l'année, je vous propose une observation de l'année écoulée. Inspiration introspective pour faire briller vos expériences à travers vos pensées colorées.
Je vous souhaite des fêtes remplies de joie, de partages et de contentement.✨✨✨💗
Bonjour les Âmis !
L'inspiration m'a réveillée ce matin bien tôt, venant me chatouiller le cerveau. Des chiffres s'affichaient dont bien-sûr mon nombre fétiche le 24. Sans doute 2024 qui vient pointer le bout de son nez par le biais de la préparation de l'atelier des Jeunes Colo'Rieurs.
Je l'aime bien ce 24, il s'est proposé le jour de ma naissance, avec son 2 et son double, le 4.
Chaque chiffre a sa résonance et celui-là me va, il compte double.
Qu'est-ce que je raconte ???
C'est sans doute l'effet de ces merveilleux Contes des Apprentis d'Auteuil, partagés par notre Zébulon malicieux ou celui de mon amie sur les bougies. Ils éclairent mon chemin.
À moins qu'Antoine ne soit revenu me chercher par le biais de l'émission que je vous partage ici.
Je reste une Âme d'enfant et ces contes me touchent profondément et simplement.
Chaque heure compte pour notre bonheur. Nous sommes lancés dans la quête du cadeau "idéal" et si nous sortions des besoins matériels et si nous osions le "présent"?
Que chaque Un fasse ses comptes jusqu'à ce que le compte soit le bon,
arrachons nos baobabs petits sinon ils feront éclater notre planète.
Ce n'est pas moi qui le dis, c'est le Petit Prince !
Rendons-nous compte de ce qui compte vraiment pour nous...
Promis, j'arrête le compteur, je laisse la place aux Conteurs.
Frâme d'enfant
UN CONTE POUR ENFANTS… APPRECIE AUSSI DES ADULTES.
Il y avait une fois un pays dont les habitants étaient des bougies.
Il y en avait de toutes les formes, sortes, tailles et apparences. Des bougies de mariage et d’enterrement, de grandes bougies fines et élancées comme des danseuses de ballet, d’autres courtaudes et fortes à la taille comme des nains de jardin. Des bougies aux couleurs brillantes, d’autres comme des arcs-en-ciel, d’autres toutes simples et blanches.
Et toutes ces bougies vivaient juste comme les êtres humains, elles dansaient, riaient, couraient, travaillaient, dormaient – et surtout, elles aimaient beaucoup s’amuser.
Certaines bougies étaient toujours disposées en cercle, d’autres en rangées comme de petits soldats. Les unes servaient dans des églises ou des temples, d’autres pour veiller un enfant avec de la fièvre ou pour éclairer des caves ou des galetas. Les unes rehaussaient de leur éclat des gâteaux d’anniversaire et le festin du roi, d’autres se contentaient modestement de réchauffer des plats ou éclairer une photo.
Mais toutes ces bougies avaient une mission commune : servir, que ce fut en faisant de la lumière ou en réchauffant des plats.
Chaque année, dans le royaume des bougies, il y avait un grand concours pour voir quelle bougie brillerait le plus fort. N’importe quelle bougie pouvait s’inscrire. On choisissait la nuit la plus noire de l’année, une nuit sans lune ni étoiles, et la bougie qui brillait le plus fort était couronnée par la reine elle-même « Princesse (ou prince) de la nuit ».
Chaque année, le concours avait lieu dans une contrée différente du pays, avec une exception. Jamais on ne l’avait organisé dans la vallée de la nuit d’encre.
Cette vallée avait la réputation d’être si sombre, si noirement obscure, qu’aucune bougie n’avait jamais eu le courage d’y aller de nuit, de mémoire de bougie. On la disait habitée de démons si méchants et sombres que la seule évocation de ces derniers faisait trembler la lumière de la bougie la plus courageuse.
Pourtant, il y avait dans le pays une petite bougie particulièrement courageuse qui s’appelait Menuka. Son grand-père – une vieille bougie qui en avait vu de toutes les nuits (plutôt que de toutes les couleurs) dans le monde entier, car il avait beaucoup voyagé, et qui avait même veillé le dernier roi, le père de la reine actuelle – son grand-père lui avait dit que la lumière était toujours, toujours plus forte que la nuit la plus sombre et la plus terrible. Il avait même ajouté qui si Menuka entrait dans la caverne la plus sombre au plus profond des entrailles de la terre, sa lumière en chasserait les ténèbres. « La nuit peut pousser des hurlements lugubres, brandir tous les fantômes du monde, en fin de compte, elle s’enfuira toujours devant la lumière d’une bougie courageuse ».
Or il arriva que dans le royaume des bougies, on devait célébrer le 1000è concours annuel de la bougie la plus brillante. La reine avait longuement consulté ses sages et ses conseillères pour savoir quel éclat particulier donner à cet événement. Sa conseillère la plus écoutée, "Je brille ncore", lui avait suggéré que le concours ait lieu… dans la vallée de la nuit d’encre.
Après avoir longuement réfléchi, la reine acquiesça à cette idée et fit proclamer la nouvelle dans tout le royaume. Mais contrairement aux autres années, où des centaines de bougies se portaient candidates, cette année-là, seule une douzaine de grosses bougies adultes fort épaisses, qui avaient déjà affronté de longues nuits très noires, s’inscrivirent. Il y avait une exception : Menuka.
D’abord, le jury ne voulut pas accepter sa candidature. Comment une petite bougie toute simple et blanche pouvait-elle espérer survivre, même quelques minutes, à la nuit noirissime de la vallée de la nuit d’encre ? C’était ridicule, disait le jury, en se donnant les grands airs de "Ceux Qui Ont Tout Compris". Mais comme il n’y avait pas de limite d’âge, et que les parents de Menuka encourageaient même leur fille, ils furent bien obligés, en ronchonnant et en faisant bien comprendre qu’ils dégageaient entièrement leur responsabilité dans l’inscription.
Les astrologues du royaume avaient été consultés pour sélectionner la nuit la plus sombre de l’année. Ils avaient bien fait leur travail, car à 16h30 le jour-dit, il faisait déjà si sombre qu’on ne voyait pratiquement rien. Le cortège du jury et des bougies candidates s’approchèrent de la vallée de la nuit d’encre. Une après l’autres, les bougies adultes commencèrent à se défiler. L’une prétexta une méchante grippe, l’autre commença à tousser si fort qu’elle faillit éteindre le flambeau qui la précédait, une troisième prétexta qu’elle avait oublié son manteau, une autre ses allumettes… Finalement, à l’entrée de la vallée, il ne restait qu’une grosse bougie très vaniteuse et Menuka. On alluma leurs mèches, et elles pénétrèrent dans la vallée, le jury restant à l’entrée de cette dernière, sur un grand plateau surélevé.
L’obscurité dans la vallée était si sombre qu’on ne pouvait même pas distinguer sa propre main, 30cm. devant son nez. C’est ce moment que choisit la grosse bougie pour annoncer qu’elle sentait les premiers symptômes d’une crise d’appendicite et elle se défila assez piteusement.
Menuka restait seule, petite bougie courageuse face à l’obscurité la plus noire à laquelle une bougie ait jamais eu à faire face dans toute l’histoire des bougies. On entendait des grondements et des hurlements effroyables, mais Menuka tenait bon. Elle pensait à une seule chose que lui avait dit son grand-père : toute l’obscurité de l’univers ne peut éteindre la plus petite bougie.
Et c’est alors que le jury remarqua quelque chose d’étonnant : plus la nuit s’obscurcissait, et plus la bougie de Menuka brillait clairement. Les heures passèrent. Les démons de l’obscurité eurent beau noircir la nuit comment jamais auparavant, ils ne faisaient que mieux faire ressortir la clarté de la flamme de Menuka! On les entendait jurer, crier, s’insulter se donner ordres et contrordres – rien n’y faisait. Le désordre et le désespoir montaient dans le camp de la nuit. Comment ? Cette petite bougie maigrichonne qui tenait tête, toute seule, à toutes les armées de la nuit ? C’était inconcevable, plus rien ne marchait dans l’univers…
Et c’est alors que, le matin approchant, on entendit chanter le premier merle. C’était un chant si clair, si pur que la nuit même en frémit. Et lentement, presque honteuse, en marchant à reculons, l’obscurité quitta la vallée de la nuit d’encre.
Quand les premiers rayons de soleil atteignirent la vallée, on aurait dit que tous les oiseaux du royaume s’y étaient donné rendez-vous. Menuka, fatiguée mais joyeuse, éteignit sa petite mèche.
La reine elle-même vint à sa rencontre à l’entrée de la vallée. Elle ordonna une fête comme jamais le royaume n'en avait connu, de mémoire de bougie. Elle offrit à Menuka la main de son fils, le prince, une belle bougie droite et élancée comme un sapin, aux couleurs resplendissantes, et décorée de paillettes argentées.
Bien-sûr, ils vécurent heureux de longues années et eurent beaucoup de petites bougies.
Mais surtout, depuis ce jour-là, toutes les bougies du royaume surent que leur éclat, aussi modeste fût-il, pouvait chasser les ténèbres les plus agressives.
Bonjour chers Lecteurs et Lectrices !
Me voilà en mode préparation, ça me rajeunit.
Entre Noël et Nouvel An, nous partagerons le premier atelier Jeunes Colo'Rieurs de la saison 2.
Je me sens heureuse. Ce sont ces petits moments de joie, d'application et d'émerveillement qui rallument le feu en nous et cela me donne de l'espoir.
Je profite de cet article pour souhaiter à chacun de vous de belles fêtes de Noël en bonne compagnie.
Noon aura sans doute le temps de vous partager quelques belles réalisations.
En attendant, voici un partage arrivé sur ma boîte mail.
Bonjour chers amis lecteurs !
Plusieurs jours sans partages sur notre petite communauté, les plus proches l'ont vite deviné : tempête en vue ! Nous essayons de rétablir l'assiette de notre appareil volant, de retrouver notre équilibre.
La Vie nous propose à nouveau de bien comprendre ce qui compte vraiment pour nous.
Fêter Noël avec ceux que l'on aime, le plus simplement possible. Cela s'avère souvent compliqué pour des raisons de santé ou pire pour des couacs relationnels ayant entraîné des éloignements.
Je remercie ma Contributrice du jour pour ce bel éclairage.
Bonjour à chaque Un, chaque Une !
Le mot "impasse" s'est invité dans cette conversation car il me suit depuis des mois !
Qui d'entre vous n'a pas eu l'impression de se retrouver dans une impasse, de s'être engagé dans une voie sans issue ?
Comme le claironne avec insistance notre GPS : "Faites demi-tour dès que possible !"
Premier constat : les impasses existent.
S'arrêter là, se morfondre, râler ou faire simplement demi-tour pour trouver la bonne voie ?
J'aime apprendre de mes erreurs et je suis servie car j'en fais énormément.
J'ai appris à comprendre ce que chacune d'entre elles m'a apporté et le deuxième constat, c'est que les impasses font partie du voyage. Elles m'invitent à me retourner, pour me retrouver sur ma route.
Constat suivant : il en va de même pour certaines rencontres, éphémères ou durables. Elles contribuent à me réorienter pour être dans le bon sens. Ce dernier mot a tant de sens différents, aussi importants les uns que les autres.
Une amie me décrivait dernièrement son sentiment d'être dans un tunnel bien long. Quelle merveilleuse image pour définir non ce qui assombrit, plutôt ce qui mène à la lumière, qui traverse des montagnes ou d'autres obstacles jugés infranchissables.
Parfois, être "sur la touche", "dans une impasse" ou "dans un tunnel" se révèle la meilleure alternative pour arriver à destination.
En ces jours d'actualité bien sombre pour l'humanité, nous pouvons garder confiance et persévérance car ce n'est qu'une impasse à dépasser ! Les bifurcations nécessaires demandent simplement de garder en main notre carte des valeurs.
Une impasse peut aussi être l'amorce d'une voie future. 😉
Frâme d'enfant
Merci à notre belle Artiste pour cette œuvre significative !
Comme en écho :
Un bon jour est un jour ouvert à ce qui vient...
Chers Lecteurs et Lectrices, laissez-moi vous raconter une nouvelle aventure qui m'est arrivée dernièrement.
Vous connaissez déjà mon appétit insatiable pour la lecture.
Vous savez que j'aime aller à la rencontre de livres improbables, en fouillant dans un Bazar ou dans un vide-grenier, une boîte à livres... et de temps en temps en rendant visite à ma belle libraire. Je lis volontiers les ouvrages recommandés par mes amis, prêtés et commentés.
Donc, ce samedi après-midi, au Bazar des Livres, j'avance lentement, la tête penchée parfois à droite et parfois à gauche pour lire un titre ou le nom d'un auteur qui pourrait bien m'attirer. L'exercice le plus périlleux pour moi consiste à regarder la rangée du bas car je ne suis pas sûre de pouvoir me relever. Privilège de l'âge ! 😏
Et la magie opère !
J'ai rendez-vous avec toi.
Je souris car je sais déjà que ma découverte est dans ce bouquin pas très gros, écrit par une auteure que je ne connais pas. Je le saisis avec un beau sourire et je le retourne pour voir si le résumé au dos valide cette impression d'avoir trouvé mon trésor de la semaine.
Un bon jour est un jour ouvert à ce qui vient !
C'est certain !
Belles découvertes à chaque Un.
Frâme d'enfant
Petite association d'idées : Le dernier rendez-vous, saison 1
Bonjour les Âm'is !
Merci pour ces contes des Apprentis d'Auteuil qui viennent m'apporter ce dont j'ai besoin aujourd'hui pour illustrer cette conversation sur le PARDON. Mon âme d'enfant se réjouit de ce rendez-vous journalier avec une histoire toute simple et si significative.
Toudoucette a gagné un concours et doit faire un discours, le trac la gagne et cela n'échappe pas à deux ours "mal léchés" qui se moquent bruyamment.
Qui de nous n'a pas rencontré une telle situation ? Se sentir incapable et subir les moqueries plutôt que recevoir des encouragements.
Peut-être avons-nous parfois été moqueurs et dévastateurs pour des Proches ?
Malgré la blessure, Toudoucette pardonne et reste fidèle à ses valeurs, mettant l'ours dans une situation inconfortable, elle dépasse avec gentillesse la moquerie qui l'a perturbée. C'est ça le Pardon : donner sa part à l'autre et rester soi-même, avec son coeur ouvert. Le reste de l'histoire appartient à l'ours, à tous les ours qui nous ont blessés.
Tout le contraire du mot CONFLIT qui signifie la lutte, le combat, les heurts et malheurs car s'affronter ne résout aucunement une situation relationnelle. Comme je l'écrivais dernièrement, aucun conflit ne se gagne, il ne fait que différer une autre lutte, une revanche !
Alors il nous reste des mots pour résoudre nos maux. Et ce n'est pas facile puisqu'ils ont plusieurs sens et qu'ils passent également par notre compréhension individuelle. Nous filtrons en fonction de nos expériences, de nos croyances, de notre éducation... Les mots s'engramment dans notre corps (le mal a dit, la maladie), dans notre mental, cette radio intérieure souvent interprétative.
Notre présence suffit parfois à apaiser un conflit, juste en envoyant notre bonté, le meilleur de nous-même.
Avoir de bonnes intentions.
Un silence, une étreinte peuvent être habités de tant d'amour, de compréhension. 💖
Ce que nous transmettons se sent. Gardons cet instinct des jeunes enfants.
(Édit : en attendant le partage de Peter Pan...🙂, voici le mien . ÉlisenRèV').
Peter Pan va-t'il être inspiré par cette conversation ? J'aime penser à son dessin qui viendra compléter mon article, dans la foulée des mots. C'est ainsi que nous cheminons tous ensemble, avec nos talents et nos fêlures. Merci pour cette communauté qui s'enracine, petit à petit, et se nourrit avec générosité et respect.
Beau mardi !
Frâme d'enfant
Petit cadeau supplémentaire : Les deux loups, légende amérindienne
Coucou les colorieurs et les colorieuses,
C'est le moment de sortir votre palette de couleurs, vos motifs variés et de créer à partir de cette ébauche de mandala.
À très vite.
ÉlisenRèV'
Bonjour à chacun de vous !
Depuis dix jours, j'ajoute une étoile et un mot sous notre petit sapin de Noël. Les décorations sont de plus en plus modestes, chaque année, retrouvant le sens même de cette fête.
Le mot Amour s'est invité. Il fait suite à un épisode particulièrement intense de la série que nous regardons avec intérêt depuis plusieurs semaines.
"En thérapie", sur Arte en replay.
L'Amour est le besoin essentiel et premier de tout Être vivant. Les Humains plus que tous ont ce besoin premier du fait de leur entière dépendance physique.
Celui qui n'a pas reçu ou trop reçu sera-t-il capable à son tour de donner cette matière première, ce carburant inépuisable source de bonheur ?
Les psychiatres et leurs patients, dans la série, illustrent avec brio les paradoxes que nous vivons.
Nos blessures d'enfance, parfois bien enfouies, refusent de laisser entrer la lumière nécessaire pour AIMER, s'aimer et essaimer. Car un amour reçu se partage et se répand. Il en va hélas de même pour nos fêlures qui risquent de se transmettre de génération en génération.
Pour gai rire, il est important de ne pas se soi nier.
Pour guérir, prendre soin de soi avec lucidité est le premier pas. S'écouter pour mieux se comprendre.
Merci à nos deux Conseilleurs en Émissions particulièrement éclairantes ! 😍
Il n'existe pas de professionnels en amour, chacun de nous est en apprentissage. Même les psy traversent le désert et se questionnent sur leur place, leur légitimité.
Cet Amour ne prend sens que dans le partage et c'est justement ce que nous explique le conte du 9 décembre 2023 pour vos enfants. Merci Élise !
Nous nous réjouissons de former avec chacun de vous une communauté de Grandes Personnes et Enfants de Bonne Volonté.
Joyeux dimanche !
Frâme d'enfant
C'est avec bonheur que je partage avec vous ce lien merveilleux qu'un Contributeur nous a envoyé :
Et si le Monde tournait rond ?
Avec bonheur, parce que malgré la pesanteur des jours que nous traversons, il existe des hommes et des femmes qui continuent de nous donner envie de continuer à mettre en avant des idées nouvelles et à les animer de valeurs dont chacun de nous a besoin.
REPENSEZ TOUT !
La curiosité n'est pas un vilain défaut, c'est une qualité originelle dont chaque bébé de chaque règne vivant est pourvu. Nos sens, nos intuitions, nos instincts ne nous trompent pas. Nous vivons dans un monde à la fois prodigieux où tout est relié, en symbiose et à la fois terrifiant car nous scions la branche sur laquelle nous sommes installés.
L'image qui me vient est celle de l'impasse. Nos existences en sont remplies et nous ne comprenons pas combien elles sont nécessaires. Se tromper de route nous arrive à chacun. Il suffit alors de faire demi-tour.*
Ce tournant est CAPITAL ! Nous sommes en boucle : la culture de la consommation est trompeuse. C'est une impasse. Nous perturbons un éco-système vieux de trois milliards d'années ! Nous produisons des déchets que nous refilons à d'autres, le comble du mépris.
Consommer, c'est détruire. Nous avons donc le choix : continuer ou changer nos habitudes.
Dans ce reportage, diffusé sur Arte (que je remercie pour la qualité de ses programmes), vous entendrez parler de l'économie circulaire qui s'inspire du Vivant, le bio-mimétisme.
Si le bien commun vous préoccupe, si la Nature vous émerveille et si vous êtes conscients qu'une croissance ne peut être perpétuelle, alors ce lien va vous intéresser et nous pourrons en reparler.
L'Humanité est un organisme vivant sur Terre, en compagnie d'autres espèces toutes aussi importantes.
La Circularité est notre seul espoir.
Beau jeudi
Frâme d'enfant
Voici également un lien intéressant où les Enfants nous montrent la Voie : Animal, Cyril Dion
